AKER “bouc”. Le correspondant probable ne peut être que gr. αἰγοκερως (aigokerōs) que traduit lat. capricornus. Ceci signifierait que AKER serait un emprunt fait au grec, avec haplologie ? Ou que AKER révèle une morphologie archaïque disparue dans l’euskera, où le premier terme de composé aurait désigné le “caprin”, actuellement exprimé par AHUNTZ/AINTZ et qui aurait subi une forte altération de forme, tandis que le second terme /-KER/ serait resté intact ? Cf. gr. κέρας (kéras) “corne”. On peut aussi supposer que le /a/ initial est simplement “phonétique” dans cette hypothèse ? |
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